Le rôle de ma vie? Moi:
NOM & Prénom: Peaks Devon
Surnom(s): Aucun ou Dev’, pour les rigolos…
Date, Lieu de naissance & Âge: Il est né en 1982, à Seattle et a maintenant 25 ans.
Métier: Journaliste au Tapis Rouge et mannequin quand le besoin financier se fait ressentir.
Addicted: Au tabac, fumé en cigarette.
Biographie: (20 lignes) Loin d’être un garçon né avec une cuillère en or dans la bouche, Devon à plutôt vécu la misère, pendant ses quinze premières années d’existence. Ayant comme parent, une seule mère qui, incontestablement, ne voulait pas de lui et un père peut-être encore en vie mais qu’il n’avait jamais connut et qu’il préférait ne point connaître, le garçon appris à se débrouiller de ses propres mains et devint rapidement un jeune homme raisonnable, plus mature que ses camarades à l’école. Il vivait avec un rêve et ne laissait surtout pas les dépressions de sa maman, ni l’ambiance répugnante à la maison le laisser gâcher son but premier. Il voulait devenir journaliste.
Un jour, étant bien sûr que plus il restait ici, plus il s’éloignait de son rêve, il laissa une note à sa mère et pris la route. Brève note qui contenait des remerciements sarcastiques sur son enfance et le nom de la ville où il irait : « Los Angeles » Il ne donna pas plus détails puisqu’il savait fatalement qu’elle n’essayerait pas de le rejoindre…Ainsi, quittant le peu d’amis qu’il s’était fait à Seattle et quittant sa génitrice, il partit à Los Angeles, ville de la célébrité, ville de son rêve.
Aussitôt arrivé, il se rendit rapidement à l’évidence qu’il n’avait pas grand chose encore pour travailler dans sa passion, si on ne comptait pas ses capacités intellectuelles, qui elles, en valaient drôlement le coup. Mais si on parlait matériels et méthodes, et bien on pouvait facilement s’apercevoir que Devon n’avait que des études très basiques et le porte-feuille plutôt vide. Et il ne fallait pas être idiot pour comprendre maintenant qu’il fallait trouver du boulot, si il ne voulait pas finir comme clochard. Pendant quelques longues années, Devon enchaîne donc, pour se payer un appartement et commencer à financer ses études, des boulots ennuyants et dégradants qui n’avait aucun rapport avec son futur travail. Il fut été concierge une semaine dans une usine quasi-abandonné et plongeur dans un restaurent ou cette fois, la clientèle était abondante la semaine d’après et ainsi de suite… Certaines fois, il lui arrivait de désespérer mais chaque fois, il reprenait raison sur le et pensait à plus tard, quand il le deviendrait.
Un jour, il eut assez d’argent et commença ses études. Chaque jour était épuisant mais le rapprochait aussi du but qu’il avait en tête. Il rencontra Courtney à la FAC et vécurent ensemble en collocation et les deux jeunes gens devinrent rapidement meilleurs amis, partageant la même passion.
Aujourd’hui, Devon est journaliste. Après avoir fait autant d’effort, le contraire surprendrait sûrement, en fait. Il a su payer entièrement ses études et vivre d’une manière normal en faisant des défilés en sous-vêtements, chose qu’il n’avait jamais totalement aimé mais qui était bien plus payant et bien moins épuisants. Dans ses pannes dans le métier de journalisme, il continue le mannequina pour l’argent, bien sûr.
Dernièrement, Devon à rencontré Danaë et ils se voient maintenant très souvent. Eh ! Détrompez-vous ! Ils ne sont pas ensemble. Ils se voient grâce à leur métier commun. Mais vous avez vu juste au fond puisque Devon hésite à avouer ses sentiments à la jeune femme à cause de la timidité qu’il la toujours suivit avec les femmes…
Filmographie / Discographie / Défilés: De nombreux défilés mais peu populaires. Plusieurs chroniques dont certaines sur de grandes célébrités.
Tempérement : (10 lignes) Il a un tempérament paisible, si on l’aborde du premier coup. Souvent, il est stressé à l’intérieur de lui mais ne laisse rien montrer. Selon lui, un journaliste ne doit pas laisser paraître ses faiblesses et doit toujours paraître fort aux yeux des gens. Fort moralement, intelligent, intéressé et respecté, le plus possible. C’est ainsi qu’on décroche les meilleurs interviews. Quel Star voudrait se faire poser des questions par un mec qui pleurniche entre chaque phrases et qui parait mal ? Donc Devon essais le plus possible de se saisir de ses qualités. Il est aussi, malheureusement pour lui, très timide avec les femmes, en restant par contre poli et même charmeur à ses occasions. Il ne les fuit pas, de toute façon. Mais dans le passé, c’est la timidité de Devon qui les faisait fuir. Il a encore le même problème avec Danaë et aimerait plus que tout lui avouer ses sentiments car en amour, le jeune homme est passionné. Il est aussi doté d’une persévérance et d’une passion pour son travail extrêmement généreuse. On peut le remarquer quand on lit ses articles ou on écoutent ses entrevues, évidemment… Mais quand la persévérance devient de l’acharnement sur quelque chose ou quelqu’un, ça devient alors un défaut.
Principales qualités : (brièvement) Persévérant, passionné pour son travail et intelligent..
Principaux défauts : (brièvement) Timide avec les femmes et certaines fois, il s’acharne trop.
Entre deux coups d’chirurgie esthétique…:
Star sur l’avatar : Orlando Bloom (Bah ouais, Kurt Cobain est mort donc…)
Physique (10 lignes) : Dans les défilés, surtout ceux qui bénéfice les sous-vêtements, on y retrouve rarement des laiderons obèses à part si on veut que le défilé soit un flop ou un concept original, je crois. Pour avoir donc été engagé dans un truc du genre, Devon à un physique avantageux. Il a des cheveux bruns, longs jusqu’au épaules ou un peu moins et des yeux de la même couleur. Il a une figure habituellement paisible et une physionomie impassible en même temps. C’est un homme soigné qui essais de rester d’habitude, toujours à son avantage sans rentrer dans l’extrême du mec qui se met qui se met quatre pots de gels et qui s’observe dans le miroir une heure le matin avant de partir au boulot. Il s’habille habituellement de chose simples en suivant peu la mode mais en restant classique. Un homme à l’allure normal, quoi… Il a par contre une préférence sur le style veston-cravate donc vous pourrez souvent l’apercevoir avec ce look. Bref, en général, souliers cirés, allure mondaine et à l'aise, Devon est toujours prêt à courir les entrevues et capter les stars en restant dans l'apparence quelqu'un de bien et de confiant avec qui on a envie de discuter...
Mon portrait chinois :
*Les journalistes/paparazzis et photographes*- Appareil photo ou caméra numérique ? Appareil photo
- Info ou intox ? La plupart du temps, Info…
- Traquer ou prendre rendez-vous ? Prendre RV et si refuser, traquer si ça vaux vraiment le coup.
- Privé ou Public ? Public
- Amitié ou Métier ? Métier, avant tout…
Je possède :
( Mettre le rond en rouge si vous ne possèdez pas, en vert si vous possédez et en orange si à moitié (ex: mettez le rond du logement en orange si vous habitez chez vos parents)*Les journalistes/paparazzis et photographes*Un appareil photo ou Caméra numérique
OUn avocat
OUn casier judiciaire
OUne voiture
OUn animal
OSilence, c’est privé :
Prénom : Jason
Age : 16 ans maintenant
Présence sur le forum : J’sais pas… ça dépends souvent d’mon humeur ça…
Ce que je pense de ce lieu mal famé : C’est bien… J’espère y rester, quoi…
Comment t'es tu retrouvé ici : DYL, ça vous dit quelque chose ?
Code: *** Ok By Adelyne! (Belle astuce, pour le code
J'ai faillit mettre celui en bas)
Exemple de post: ( 15 lignes minimum )
DLY, d'un topic avec Axelle:
- Spoiler:
Attendez ! Jeff ne se sauvait de personne, ni des flics ni des trafiquants de drogues enragés. Il n’était ni sans-abri, ni un prostitué. Il n’était même pas saoul, ni drogué. Il n’avait pas touché à une piqûre depuis des jours et le jeune homme était l’homme sain d’esprit en personne, ce soir là. Alors la question c’était : « Qu’est-ce qu’il fichait dans une ruelle si tard dans la nuit ? » La réponse était simple : Jeff adorait s’isoler et marcher à l'opposé des gens. Se promener à des endroits que les gens normaux trouvent déplaisants et effrayants et les plus courageux, ennuyants. Longer lentement les ruelles sombres et désertes était si plaisant pour son esprit qu’il semblait vouloir s’envoler. Désertes. C’était en partit pour ça qu’il était ici. Il en avait marre des gens et de leurs habitudes étranges. Allez en boîtes de nuit, par exemple. C’était nul. Danser, c’était encore plus nul.
Ainsi, il marchait tranquillement, mains dans les poches de sa veste en cuir. Il se sentait bien. Personne pour jugée d’un regard ses vêtements déparés. Pas une âme pour lui dire que porter des t-shirts de musique trop grands et des jeans sales, c’était laids. Pas un seul humain pour lui crier de se laver les cheveux. Évidemment, il avait tant la poisse que la situation était trop belle pour durer.
BOUM, dirait t’on.
Jeff recula d’un pas, abasourdi. Quelqu’un venait de lui rentrer dedans de plein fouet. Il se jura à l’instant de détester cette personne qui venait de le troubler dans sa paix antérieure. La personne avait eut plus mal que lui, elle avait reculé dans le mur. Parfait pour elle. Il évita tout autre coup d’œil et se prépara à se relever. Mais la personne bifurqua vers lui en s’accotant sur lui. Elle semblait vraiment avoir reçu un choc, cette pauvre personne. Toute mêlée.
« P’tain… Qu’est-ce que tu fais ? »
Il avait prononcé cette réprimande d’un murmure fort, qui ressemblait étrangement un à grognement d’ours énervé. Il posa enfin un regard sur l’inconnu. Inconnue plutôt. C’était une fille. Et parmis mille, il aurait été capable de la reconnaître. Mais il n’eut pas le temps de répliquer d’avantage car il se fit plaquer à même le sol, par cette foutue voleuse. Il voulait répliquer bien sûr. Mais sa main était sur ses lèvres. Il soupira intérieurement, se demandant bien ce qu’il y avait de si grave pour le moment pour elle. Un instant passa, après que la jeune femme lui ai dit de fermer sa gueule. Il crut entendre un sirène de police et des gens parler plus fort près d’ou ils étaient. Commençant à comprendre lentement, il se fit silencieux. Lui aussi, avait des problèmes avec les flics. Certains de ces abrutis pensait que c’était un dealer et autre conneries du genre. Passer la nuit en prison était la chose qu’il répugnait le plus au monde. On brimerait sa liberté trop de temps.
Comprenant maintenant la situation, il enleva fermement la jeune fille de sur lui, trouvant cette situation gênante et inappropriée. Il se tassa vers le mur, dans un coin ou l’ombre était plus forte et que la vue sur la rue était presque entièrement caché à cause d’une poubelle, toujours en position assise. La jeune femme le suivit évidemment, puisqu’elle ne voulait certainement pas retrouver ce qu’elle avait fuit. Il lui fit un sourire. Un sourire ? Il enchaîna d’un ton extrêmement sarcastique et très bas :
« Très heureux de te revoir… Alors ? Ils t’ont vu voler un autre type ? »