Le stand du marchant de Melon héhé

ENJEUX PLANETAIRE


Quelque part en Russie occidental, 2H30 du matin.
Le convoi était très bien gardé. La remorque ou était installée l'immense caisse était encadrée par quatre voitures de chaque côtés et d'un hélicoptère qui restait toujours à la verticale du convoi. L'armée russe avait vraiment voulu que cela se passe sans anicroches…
C'était vraiment une bien étrange caravane qui passait dans les contrées enneigées de la Russie par ce glacial matin de janvier. Pourtant personne ne se serait posé de question ici. Des années de communisme pur et dur avaient appris aux populations à ne pas se poser de questions.
Le soldat Alexeï Krakov se posait néanmoins des questions en son fort intérieur. La première était pourquoi le réveiller en pleine nuit pour escorter… une caisse et cela comme si c'était les restes de Lénine en personne. Et puis pourquoi devait-il collaborer avec ces capitalistes américains ?
En effet le convoi était sous la surveillance d'observateur de l'armé de l'air américaine ! L'armé de l'air ? C'était vraiment étrange. A moins s'agisse qu'ils transportent un prototype d'avion ?
Alexeï regarda la caisse, non ce ne pouvait pas être ça. La boite était haute de près de trois mètres mais épaisse de moins de un !
Le trajet était précis, orchestré aux mètres près et ne devait en aucun cas s'arrêter. Pourtant on venait de stopper !
En bon soldat il enleva le cran de sûreté de son arme et s'apprêtait à descendre du véhicule pour se déployer avec le reste de son escadron mais la voiture de devant explosa dans une gerbe de flammes. Puis se fut la sienne, il fut projeté au du véhicule et atterris non sans mal à quelque mettre de là. Bientôt il vit que toutes les autres voitures étaient en feu. Ceux qui le pouvaient encore ripostaient de leur mieux mais comment abattre un ennemi quant on ne la voit pas ?
Ses compagnons tombaient un par un. Puis il ressentit une vive douleur à l'épaule et puis se fut le noir.
Il n'y voyant plus mais il pouvait encore entendre un des yankees qui hurlait dans sa radio : "On subit une attaque, je répète, on attaque la porte des étoiles ! Il nous faut des renforts !"
La porte des étoiles drôle de nom de code ne put s'empêcher de penser Alexeï avant de sombrer dans l'inconscience.
Mais après quelques instants ou bien une heure il n'aurait su le dire, il se réveilla. Il n'y avait que le silence puis il entendis des pas et dans la pénombre que créait les flamme il pu voir une femme en tenu de combat avec un homme. Ils discutaient. Puis il fut choqué l'homme portait un uniforme russe. Il le reconnut le capitaine Andropov…
FEMME : Vous avez bien servi la confrérie adriatique…
ANDROPOV : Merci et quand est-ce que je serais rapatrié ?
FEMME : On ne vous a pas dis ? Vous restez là.
Puis la femme sortit un revolver et l'abatis sans autre forme de cérémonie.
FEMME : Dépêchons ! On est attendu !…
Mais Alexeï n'entendis pas la suite car il perdit connaissance pour la seconde fois.

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SGC, salle de contrôle de la porte des étoiles.
X : Arrivé imminente non autorisée !
Le général Hammond avait bien besoin de ça maintenant ! Il regarda la porte qui avait l'iris fermé en se demandant ce qu'il allait encore se passer.
X : On reçoit une transmission… C'est SG1, mon général.
HAMMOND : Bien ouvrez l'iris.
SG1 n'était pas attendu avant trois jours mais c'était tout aussi bien qu'ils rentrent aujourd'hui. Le général alla donc en salle d'embarquement à leur rencontre. A peine était-il entré dans la salle que premier membre SG1 passait le vortex. C'était le colonel O'Neil il était littéralement trempé. Puis les autres arrivèrent tout aussi mouillé.
JACK : Ah ! Mon général, justement je voulait vous dire quand au briefing vous nous avez dis que P6X…
DANIEL : 586.
JACK : Oui, P6X-586 était une planète aride. J'ai le regret de vous annoncer que c'était une erreur !
SAM : C'est exact, mon général. Il semblerait que P6X-586 fonctionne en deux temps, deux saisons si vous voulez…
JACK : Ce n'est pas que ces explications ne sont pas passionnantes Carter mais je crois que ça peut attendre le débriefing.
SAM : Oui, mon colonel.
JACK : En attendant, je vais prendre une douche et me changer avant d'avoir complètement inonder le niveau -28 mon général.
HAMMOND : Bien faite ça mais je veux vous voir en salle de réunion dans trente minutes.
Teal'c leva un sourcille.
TEAL'C : Un problème général ?
HAMMOND : À ce niveau c'est même plus un problème !

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Salle de réunion du SGC, quelques minutes plus tard.
JACK : Comment ça on leur a volé la porte ?
HAMMOND : Le convoi a été attaqué et la porte a littéralement disparu.
JACK : Ce n’est pas vrai ? Comment on peut faire disparaître une porte ?
SAM : Le colonel a raison. La porte est volumineuse et ne passe pas inaperçu !
HAMMOND : Je suis bien d'accord mais les Russes ont quadrillé la zone sans résultats.
DANIEL : On pourrait se demander qui a bien pu la voler ? La liste ne devrait pas être très longue.
HAMMOND : Le problème c'est qu'il n'y a pas de liste puisque personne n'est au courant du projet.
JACK : Et si les Russes avaient monté le coup pour garder la porte ?
HAMMOND : J'en doute, ils ont perdu 64 hommes dans l'attaque.
SAM : En plus ils savent que nous pouvons repérer la porte dès qu'ils l'utilisent.
DANIEL : Donc elle a été volée par quelqu'un qui connaissait son existence mais qui n'est pas au courant de tous les détails…
TEAL'C : Y a-t-il eu des survivants ?
HAMMOND : D'après les premiers rapports un seul et il serait dans un état critique.
DANIEL : Et ce sont les Russes qui enquêtes ?
HAMMOND : Justement, vous allez reprendre l'enquête.
JACK : On va en Russie ?
HAMMOND : Ca vous pose un problème colonel ?
JACK : Disons que la dernière fois…
DANIEL : Mais nous n'avons aucune autorité là-bas.
HAMMOND : C'est pourquoi le gouvernement russe vous donnera un sauf-conduit qui vous fera passer cet obstacle en plus vous parlez très bien le russe professeur, ça ne devrait pas poser de problèmes de ce côté là.
SAM : Je vais pour voir essayer mon nouvel appareil de mesure de naquada…
JACK : Question : il y a pas eu de demande de rançon ?
HAMMOND : Non mais cela peut être envisageable, colonel.
TEAL'C : De rançon ? C'est étrange comme procédé.
JACK : Wouai Teal'c ça s'appelle le terrorisme demandé à Daniel après le briefing.
TEAL'C : Je n'y manquerais pas O'Neil.
HAMMOND : Alors bonne chance SG1 et retrouvez-nous cette porte ! Votre départ est prévu dans une heure, rompez !
Le général se leva et se dirigea vers son bureau. SG1 se leva plus fébrilement accusant le coup des révélations du briefing.
JACK : Donc on est à la recherche d'une porte perdue…
TEAL'C : Volée.
JACK : Résultat il nous manque une porte des étoiles !
DANIEL : On va la retrouver, elle ne peut pas s'être volatilisée…
SAM : Oui mais moi ce qui m'inquiète Daniel c'est qu'elle est en naquada et que l'on pourrait faire sauter la moitié de la planète avec…
JACK : C'est sûr que vu comme ça. De toutes façons on ne va pas s'éterniser en Russie. Trop froid !
Sam fit un timide sourire.
JACK : On pourrait régler ça avec une annonce dans le journal local : Recherche grand anneau avec signe gravé de trois mètres de diamètre, veuillez contacter consulat américain, grande valeur sentimentale !

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Au même moment, bunker du service espionnage du groupe W, NY.
Georgi Kerensky était en train de pianoter sur son ordinateur. Depuis quelques temps il passait encore plus de temps enfermé dans le bunker. Et cela sûrement car il avait l'impression que son travail avait une chance d'aboutir autre part que dans une impasse.
La confrérie ou commission adriatique selon les préférences… Largo lui avait demandé de garder toujours un peu de temps pour ce sujet hautement sensible. Mais Kerensky était russe donc incroyablement borné et en plus il détestait échouer…
A partir des informations du père Maurice, il essayait de voir qu'elles étaient les actions de la commission et qui étaient derrières. De cette façon il avait pu identifier quelques personnes qui étaient plus ou moins liées à la confrérie fantôme. C'était un travail de fourmis mais qui semblait porter ses fruits, petit à petit. Pourtant depuis quelques temps il semblerait que la commission se faisait très discrète. Beaucoup moins d'opérations bancaires ou politiques portaient sa marque. Et pour cet ex du KGB ce n'était que le calme avant la tempête mais que pouvait-il bien préparer ?
En plus avec Largo, Simon et Joy en Europe il était loin d'être tranquille…
Puis son ordinateur lui annonça un e-mail. Il l'ouvris c'était une photo. Une femme, le cliché n'était pas très bon mais il l'avait reconnu. C'était un des mercenaires de la commission, qu'il avait réussi à identifier. La photo avait été prise à Moscou.
A parfois la sainte mère Russie réservait bien des surprises ! Mais qu'est-ce qui pourrait bien l'intéresser en Russie. Ce genre de personne ne fait pas de voyage d'agrément donc il devait y avoir anguille sous roche !
Puis décidé d'en avoir le cœur net il pirata le site sécurisé du KGB. Parfois il se demandait si quand il en est parti ils étaient tous devenus stupides. Pirater le système était si facile !
Après quelques minutes de surf électronique il butta contre une protection. C'était très étrange. Surtout que ce qui était si habillement protégé n'était que le planning des convois ! Ce système n'était pas russe plutôt américain. Oui, ça c'était tout à fait le style de la CIA…
Il lui faudrait plus de temps pour y accéder mais il y arriverait…

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Jet privé de Largo Winch, piste 9 de l'aéroport de Roissy, France.
Le jet venait de se poser. Joy regardait son patron. Largo Winch était endormi dans son très confortable fauteuil de cuir. Les cheveux en bataille, il était beau comme un diable. Joy se demandait vraiment quelle était la relation qui l'unissait à Largo. C'était son boss mais avant tout son ami et peut-être plus…
Son professionnalisme repris le dessus. C'était son PATRON ! Et cela ne pouvait être rien de plus !
Mais pourtant, quant elle le regardait là, vulnérable… C'est vrai qu'il était beau. Ce n'est pas pour rien qu'il a été élu l'homme d'affaire le plus beau de l'année…
Il l'avait même embrassé une fois…
L'ex agent de la CIA fut tiré de ses rêves par le visiophone ce qui réveilla aussi Largo et Simon.
C'était Kerensky.
LARGO : (d'une voix endormie) Kerenshy…
KERENSKY : J'ai du neuf sur la commission…
Là comme par enchantement tous furent pleinement réveillés.
LARGO : Et ?
KERENSKY : Et une de nos amies mercenaires de la commission a réapparu et cela en Russie. Mais c'est loin d'être le plus intéressant… En cherchant un peu j'ai trouvé qu'il y avait eu une attaque sur un convoi ultra protégé.
SIMON : Et serait notre copine qui aurait fais le coup ?
KERENSKY : Très tôt j'ai appris à ne pas croire aux coïncidences.
LARGO : Mais il on volé quoi ?
KERENSKY : Ca c'est très étrange car rien n'est précisé mais ça devait être volumineux car il leur a fallu une semi-remorque pour le transporter.
JOY : Il n’y a même pas un nom de code ?
KERENSKY : Si porte des étoiles.
JOY : Attend il est en anglais ?
KERENSKY : Oui il semblerait que l'air force soit aussi dans l'histoire…
LARGO : Et ça c'est passé où ?
KERENSKY : En plein milieu de nul part ! Mais j'ai les coordonné JPS.
LARGO : Il faudrait aller voir mais je suis bloqué ici par le sommet sur l'énergie !
SIMON : Joy et moi on peut y aller. On fait un saut, on voit ce qui s'y passe et on rentre…
KERENSKY : En tout cas je me suis permis de dérouter un de nos satellites pour pouvoir avoir des photos de la zone.
LARGO : Bien en reste en contacte.
Et il éteignit le moniteur.
LARGO : Et vous deux vous êtes prudent. Je n'aime pas trop quant il y a des militaires impliqués…
SIMON : Oui papa !

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Six heures plus tard quelque part en Russie occidentale.
JACK : Alors Carter ?
SAM : C'est très étrange il n'y a aucune trace de naquada dans un rayon de plus de trois cent kilomètres ! Jamais ils n'ont pu l'emmener aussi loin !
SG1 se trouvait sur les lieux de l'attaque et pour ne rien arranger cette dernière avait eu lieu juste à côté d'une ferme et la moitié de la campagne environnante avait été prévenue. Officiellement c'était un transport nucléaire à haut risque qui avait eu … un problème !
A ces Russes un manque total d'imagination !
Mais aucune trace de la porte !
Il faisait un froid de canard. -10 ce n'était pas un temps a laisser un officier de l'air force dehors ! En plus sous son épais manteau il avait du mettre son uniforme et là il aurait bien préféré une tenue de mission ! Carter aussi était en uniforme mais là c'était une autre histoire. La jupe lui allait très bien !
Par contre Daniel était habillé avec un pull à col roulé noir et un chaud manteau. Quant à Teal'c il avait son éternel bob de sortie !
JACK : L'attaque a été menée par des professionnels. C'est propre et rapide comme méthode.
SAM : Une unité spéciale ?
JACK : Peut-être…
Daniel qui était allé parler au soldat survivant venait de revenir.
JACK : Alors ?
DANIEL : Bien il était assez confus mais j'ai cru comprendre que le capitaine Andropov était avec eu mais qu'il a été abattu par la femme qui dirigeait l'attaque.
SAM : Une taupe…
JACK : C'est tout ?
DANIEL : Non mais je ne sais pas si ça a un sens mais il m'a parlé de la confrérie adriatique…
JACK : Et c'est quoi ?
DANIEL : Ca j'en sais rien ! Mais d'après lui c'est cette confrérie qui a commandité l'attaque.
TEAL'C : Pourrait-il donner une descrïption de cette femme ?
DANIEL : Malheureusement non. Le soldat Alexeï Krakov vient de mourir…
JACK : Ah !
SAM : Que fait-on mon colonel ?
JACK : Pour l'instant on n'a plus rien à faire dans le coin puisqu'on sait que la porte n'est pas là dans un rayon de trois cent kilomètres. Elle a du être sortie du pays…
DANIEL : Mais comment ?
JACK : Ca c'est une très bonne question Daniel…
Mais Jack était ailleurs. Un détail avait attiré son attention. Il prit ses jumelles et il scruta la petite foule qui s'était amassé derrière les cordons de sécurité.
JACK : Ca c'est bizarre !
SAM : Quoi, mon colonel ?
Jack lui passa les jumelles.
JACK : Regardez.
Et Sam regarda se demandant ce qu'elle cherchait. Puis elle sut. Un homme et une femme et ils étaient loin de faire couleurs locales.
JACK : Vous croyez que c'est les voisins ?
SAM : (alors que les jumelles circulaient) On les arrête ?
JACK : Nom on va les faire suivre et se renseigner dans un premier temps. Avec un peu de chance ils nous mèneront jusqu'à la porte !
Daniel éternua.
JACK : A vos souhaits ! Et puis on va rentrer au SGC avant que Daniel ne nous face une pneumonie !

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Vidéoconférence entre Joy et Simon dans le jet/ Largo à Paris/ Kerensky à NY.
LARGO : Alors ?
SIMON : Des militaires et encore des militaires !
JOY : Ils avaient parfaitement quadrillé la zone on n'a même pas pu approcher.
LARGO : Pas de trace de la commission ?
SIMON : Non mais ça vaux sûrement le coût de creuser un peu.
KERENSKY : En plus ça a l'air pas très net leur histoire d'accident nucléaire. Je viens de recevoir les photos satellites c'était pas la procédure pour un transport de matières radioactives. On aurait plutôt dis qu'il convoyait les bijoux de la couronne mais en bien plus volumineux !
LARGO : Bien, continuez comme ça. Joy, Simon, vous rentrez directement à NY. Ici j'en ai pour quelques heures et puis, je vous rejoins !
SIMON : D'accord !

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Quelques heures plus tard, SGC.
SG1 était en salle de briefing avec le général Hammond et faisait son rapport sur leur voyage en Russie. Et chose rare le volet de protection était baissé.
JACK : Rien du tout, nada ! C'est comme si elle s'était évaporée, mon général !
HAMMOND : Major ?
SAM : Je n'ai pu relever aucune trace de naquada, mon général. Il est probable qu'elle a déjà quitté la Russie.
HAMMOND : Mais pour où ?
DANIEL : Ca on ne peut pour l'instant pas le savoir général.
TEAL'C : Et les informations que nous avons demandé, général ?
HAMMOND : Je ne sais pas qui c'est mais on nous envoi quelqu'un qui va pouvoir nous renseigner.
DANIEL : Qui ?
HAMMOND : Tout ce que je sais c'est que cette personne est de la CIA…
JACK : Super !
HAMMOND : (avec un regard assassin pour Jack) Comme je le disais, il est de la CIA mais il n'est pas au courant du projet porte des étoiles et ce sujet ne devra pas être abordé !
Puis un sergent annonça au général que la personne qu'il attendait était arrivée. Et un homme d'une trentaine d'années peut-être un peu plus entra, il portait un costume trois pièces et faisait très… espion.
HAMMOND : Bienvenu, je suis le général Hammond, voici le colonel O'Neil, le major Carter, le professeur Daniel Jackson et Teal'c.
ESPION : Bonjours, je m'appelle Clayton Webb.
Il sortis une photo de son attaché-case après s'être assis à la place que lui désignait le général. Il la posa sur la table.
WEBB : Vous avez bien demandé des renseignements au sujet de cette femme ?
Ils reconnurent l'inconnue de Russie.
JACK : Oui. C'est qui ?
WEBB : Joy Arden, une ancienne de la CIA.
JACK : Elle est donc de chez vous ?
WEBB : Non maintenant elle travail pour le groupe W et elle ne répond qu'aux ordres de Largo Winch en personne.
DANIEL : Largo Winch le milliardaire ?
WEBB : Oui.
SAM : Et l'homme qui était avec elle ?
WEBB : (en sortant une photo de Simon) Simon Ovronnaz. Le meilleur ami de Largo Winch…
JACK : Et bien ça c'est la meilleur !
HAMMOND : Et ce Winch, quel homme est-il ?
WEBB : C'est un homme de principe, il essaye d'assainir les affaires de son père : Nerio Winch. On le dit intègre mais il est très mystérieux. On sait très peu de choses sur lui avant qu'il ne reprenne la direction du groupe W, il y a deux ans.
SAM : Il est certes très riche mais a-t-il de bons moyens d'informations ?
WEBB : Oh ! Pour ça il a engagé le meilleur ! (sortant une autre photo) Georgi Kerensky, ancien du KGB, virtuose de l'informatique !
JACK : Et ils sont basés où ?
WEBB : A New York, mais on n'a jamais pu localiser précisément leur centre d'informations.
HAMMOND : Bien, merci monsieur Webb de nous avoir renseigné.
WEBB : (en se levant et partant) Mais de rien, je vous laisse une copie du dossier.
Une fois Clayton Webb parti.
JACK : CIA, KGB, il ne se refuse rien !
DANIEL : Oui mais pourquoi volerait-il une porte des étoiles ?
JACK : Lubie de milliardaire ?
HAMMOND : Vous allez m'approfondir cette piste.
JACK : On pourrait aller le voir…
DANIEL : Pour lui dire quoi ?
JACK : Si par hasard il n'aurait pas une porte des étoiles dans un de ses placards ?
DANIEL : Et si c'est pas lui il nous prendra pour des dingues !
JACK : On verra bien…
TEAL'C : Je ne comprends pas pourquoi monsieur Winch rangerait la porte dans un placard O'Neil ?
JACK : (avec un sourire en coins) Demandez ça à Daniel Teal'c je suis sur qu'il sera ravi de vous expliquer. Mais pour l'instant allons voir si Largo Winch est si grand que l'on le dit !
Et à sa tête là non plus Teal'c n'avait pas compris ! ! !

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Le lendemain matin, NY aux pieds du building du groupe W.
SG1 était juste devant l'entrée du bâtiment. Sam et Jack étaient resplendissant dans leurs uniformes et Daniel et Teal'c étaient assez élégant en civil.
Ils étaient à NY depuis une heure et là O'Neil briefait une dernière fois les troupes.
JACK : Bon d'après nos informations Winch est rentré hier soir de France. Pour l'instant on veut juste savoir pourquoi il a envoyé ses employés en Russie et aussi pourquoi il a dérouté un de ses satellites pour surveiller la zone.
SAM : Il a fait ça ?
JACK : Oui, c'était ça le coup de téléphone de générale à 6 heures du mat !
DANIEL : Je croyais que seul les gouvernements avaient le droit de posséder ce genre de matériel ?
SAM : C'est exact mais certaines multinationales en possèdent et officiellement ce sont des satellites de communication ou de relaie !
JACK : Wouai, et puis le groupe W a le budget d'un petit état !
DANIEL : Ce Largo Winch se croit donc aux dessus des lois ?
SAM : C'est une pratique courante…
JACK : Mais illégale. Et on va lui prouver que même lui n'est pas aux dessus des lois !
Et ils rentrèrent dans le bâtiment où ils se firent annoncer. Ils durent même présenter des papiers officiels pour juste pouvoir passer la réceptionniste et arrivé à une secrétaire. Cette dernière au bout de quelques minutes à contempler leurs autorisation et appela un certain John Sullivan, le bras droit de Winch pour les affaires.
On les fit attendre dans un salon au 12eme étage où après plus de dix minutes un homme à la quarantaine débonnaire, un visage rond et sympathique entra.
JOHN : Bonjours, je suis John Sullivan. Que puis-je pour vous ?
JACK : En fait… Rien. Nous voudrions voir monsieur Winch.
JOHN : Monsieur Winch est en conseil d'administration, il ne sera pas libre avant une bonne heure. Je peux sûrement…
JACK : Ce qui nous amène ne peut être que traité avec monsieur Winch en personne.
Sullivan comprit que se n'était pas la peine d'insister. Rien de plus têtu qu'un militaire ! Pauvre Largo déjà qu'il devait être en train de se battre avec cet idiot de Michel Cardignac ! Il avait bien besoin que des militaires viennent lui casser les pieds !
JOHN : Dans ce cas je vais m'arranger pour qu'il vous rencontre juste après le conseil…
DANIEL : On ne pourrait pas le voir plus tôt ?
Sullivan était outragé !
JOHN : Non, on ne peut pas interrompre le conseil d'administration !
JACK : Bien alors nous attendrons.

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Siège du groupe W, NY, 1H30 plus tard.
Largo sortait du conseil d'administration. Il avait été épouvantable ! Cardignac avait vraiment dépassé les bornes. Parfois il était à deux doits de le virer mais comme disait Nerio Winch : "garde tes amis près de toi et tes ennemis encore plus près !".
A la sortie de la salle du conseil se tenait Sullivan, il semblait inquiet.
LARGO : Alors John, que se passe-t-il ?
JOHN : Ca j'aimerais bien le savoir ! Deux militaires de l'air force et deux civiles insistent pour vous voir en personne !
LARGO : L'armée ? Que veulent-ils ?
JOHN : ils n’ont rien voulu me dire !
LARGO : (préoccupé) Bien alors faite les monter.
JOHN : Ca va Largo ?
LARGO : Oui, oui ne vous inquiétez pas John. Tout va bien…

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65éme étage du siège du groupe W, appartements privés de Largo Winch.
Largo était à son bureau. Ici rien ou presque n'avait changé comme du temps de Nerio. La pièce était majestueuse et le bureau un peu surélevé donnait une impression de grandeur. Cette pièce avait été soigneusement étudiée et la vue panoramique sur Manhattan ajoutait encore à cette impression de grandeur. Largo aimait bien cet endroit, il s'y sentait étrangement en sécurité. Peut-être parce que c'était le fief de son père et que même s'il ne l'avait pas vraiment connu, il se sentait proche de lui ici…
Là il attendait ses mystérieux visiteurs. L'armé de l'air ! Cela avait sûrement un rapport avec les événements de Russie mais quoi ?
Puis il se mit en liaison avec le bunker où se trouvait Kerensky, Joy et Simon.
LARGO : Bon ils vont arriver, je laisse le haut-parleur et Georgi ?
KERENSKY : Oui ?
LARGO : Dès que l'on sait qui ils sont lance une recherche.

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Ascenseur du building du groupe W.
SG1 venait de se faire accompagner par une jeune et jolie secrétaire jusqu'à l'ascenseur. Elle composa un code et appuya sur le bouton 65. Le dernier étage évidement pensa Jack.
Jack se demandait qui était ce Largo Winch. Bon il était très riche donc puissant et les femmes le trouvaient plutôt beau garçon ! Mais pourquoi irait-il voler une porte des étoiles ?
C'est vrai c'est encombrant et pas très utile car deux porte ne pouvaient pas marcher en même temps !
Une fois arrivée au sommet de la tour leur jeune guide les accompagna à une grande porte à double battant. Elle alla les annoncer et les introduit.
Largo Winch était un jeune homme d'une trentaine d'années. Sam trouva qu'il était vraiment pas mal avec son air rebelle et son physique de mannequins. Il se trouvait à un imposant bureau qui tournait le dos à la superbe vue sur la ville.
A leur arrivée il les salua et se présenta. Puis se fut au tour de SG1.
JACK : Je suis le colonel O'Neil de l'air force et voici mon équipe : le major Carter, le docteur Jackson et monsieur… Thomas.
LARGO : Et que peut bien me vouloir l'armé de l'air ?
JACK : (avec un ton très officiel) Joy Arden travaille bien pour vous ?
LARGO : Oui c'est mon chef de la sécurité.
JACK : Alors pouvez-vous nous expliquer la raison de sa présence en Russie, il y a deux jours ?
LARGO : Bien sûr, je l'ai envoyé sur les lieux de la catastrophe nucléaire pour une des chaînes de télé que je possède.
SAM : Mais elle n'est pas journaliste !
LARGO : Non mais vu le lieu de l'accident j'ai préféré envoyer quelqu'un d'expérimenté. Le coin est loin d'être sûr…
DANIEL : Pourtant on n'a pas entendu un seul reportage sur ça sur une de vos chaînes ou même ailleurs !
LARGO : Non, mon équipe n'a même pas pu passer le premier barrage et donc vérifier l'info. Dans ce milieu il faut être prudent…
JACK : (méfiant) Vous avez raison, on n'est jamais trop prudent…
DANIEL : Et vous avez abandonné l'enquête ?
LARGO : Je ne sais pas où en sont les recherches, je ne fais que donner l'autorisation de passer l'info.
JACK : Mais mademoiselle Arden doit le savoir…
LARGO : C'est probable.
Puis il appuya sur une des touches de son téléphone.
LARGO : Joy, tu peux monter s'il te plaît ?
Après un temps.
LARGO : Elle arrive.
Jack et Largo se dévisageaient. Chacun se demandait quels secrets cachait l'autre. Par expériences Largo ne faisait pas confiance aux militaires. Il n'aimait pas régler les situations par la force si cela n'était pas absolument nécessaire. Ce O'Neil avait l'air d'être du genre : je tire en premier et je pose les questions ensuite… Et ça Largo n'aimait vraiment pas surtout qu'il avait l'air d'avoir Top Secret tatoué sur le front !
Jack lui se demandait ce que ce milliardaire en herbe avait bien derrière la tête. Il leur avait menti, cette histoire ne tenait pas la route ! Pourtant elle était inattaquable ! Mais on n'envoie pas son chef de la sécurité à l'autre bout du monde pour un… reportage !
Joy entra dans la pièce. Elle était très jolie et seul un expert aurait remarqué l'arme sous sa veste. Si elle était aussi efficace que belle…
LARGO : Ah ! Joy, je te présente le colonel O'Neil, le major Carter, le docteur Jackson et monsieur Thomas.
Joy sembla surprise en regardant Daniel.
JOY : Daniel Jackson ? L'archéologue ?
Dans le bunker il ne s'était concentré que sur les militaires et Joy n'avait pas fait le rapprochement avant de le voir. A ses heures perdues Joy aimait lire un bon bouquin d'histoire et le docteur Jackson avait publié quelques incontournable du sujet.
DANIEL : Euh… oui.
Largo était très intrigué. Qu'est-ce qu'un archéologue faisait avec des militaires ? La commission avait volé une pièce de musée ?
JOY : (se tournant vers Largo) Je suis venu pour parler histoire ?
O'Neil : Non. Nous voudrions des précisions sur votre dernier déplacement en Russie.
JOY : (regardant Largo, ce dernier lui fait signe de poursuivre) J'ai été envoyé en Russie pour confirmer une info sur un accident impliquant des matériaux nucléaires pour la chaîne Winch informations.
SAM : Cela rentre-t-il dans vos fonctions ?
JOY : Mes fonctions sont très… large major. Quand une zone est considérée comme dangereuse il est mieux que quelqu'un de préparé y aille.
Après quelques minutes de questions supplémentaires SG1 se retira laissant Largo et Joy en tête-à-tête. Largo passa l'Interphone qui était resté allumé pendant toute la conversation en mode discussion.
LARGO : Alors première impression ?
SIMON : C'est louche…
JOY : Et puis que fait un historien au milieu de militaire surtout dans une mission de contacte comme celle là.
LARGO : Et puis il y a leur monsieur Thomas. Il est vraiment étrange ce type…
KERENSKY : Oui mais c'est pas le plus intéressant…
LARGO : Bon on vous rejoint !

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Conversation sur une ligne sécurisée au SGC.
JACK : Il n’est pas net, mon général.
HAMMOND : Oui mais a-t-il la porte ?
SAM : Pour l'instant on ne peut pas le savoir, mon général. Ce dont on est sûr c'est qu’elle n’est pas dans la région de NY.
JACK : Il nous cache quelque chose, mon général. Son histoire ne tient pas debout.
DANIEL : Ca on n'en sait rien, Jack.
JACK : On n'envoie pas un ex agent de la CIA pour un bulletin de presse !
HAMMOND : Vous pensez donc qu'il dissimule des informations ?
JACK : Oui.
DANIEL : Mais rien ne nous dit que c'est notre voleur !
JACK : Il ne devrait même pas être au courant du projet et en plus il a les moyens d'une telle opération !
SAM : Daniel, c'est notre meilleur suspect.
DANIEL : Oui mais rien ne nous dis qu'il est coupable !
HAMMOND : Bon, colonel que préconisez-vous de faire ?
JACK : L'arrêter et faire un interrogatoire.
HAMMOND : C'est un peu radical comme solution colonel. C'est l'une des premières fortunes mondiales et il est très puissant…
JACK : Oui mais comme l'a fais remarquer Carter la porte peut devenir une super arme ! Et avec tout le respect que je vous dois mon général on n'a pas le temps de prendre des gants !
HAMMOND : (en soupirant) Très bien… Mais vous ne l'arrêtez pas. Vous lui demandez de vous suivre et en douceur… Le président s'inquiète de la tournure prise par cette enquête. Largo Winch est très populaire et il a toujours soutenu le gouvernement.
JACK : A vos ordres mon général.
Et il raccrocha le téléphone.
DANIEL : Et si ce n'est pas lui ?
JACK : C'est notre meilleur suspect Daniel, c'est même notre seul suspect !
DANIEL : Et la confrérie adriatique ?
JACK : Vous avez dis qu'elle n'existait pas !
DANIEL : J'ai dis que je ne la connaissais pas ! Il y a une différence !
JACK : Oui mais pour l'instant on ne sait rien de cette confrérie et Winch est à la couverture de Newsweek !

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Largo s'était levé et observait New York par la baie vitrée. Joy s'approcha de lui et en profita pour éteindre la liaison avec le bunker. Elle lui mit la main sur l'épaule.
JOY : Ca va ?
LARGO : Oui, ça va …
Joy ne semblait pas convaincu. Elle commençait à bien connaître son patron. Cette conversation l'avait secoué.
Largo se détourna de la ville et regarda Joy. Cette femme représentait tant de choses pour lui. Mais il savait qu'il ne pourrait jamais être plus que son boss… et quelque part ça lui faisait mal. Les épreuves qu'ils avaient traversées les avaient rapproché mais pourtant il restait son employeur et Joy avait une étique…
Mais là ils étaient si proche. Joy était compatissante. Leurs visages n'étaient qu'à quelques centimètres. Ils se sentaient attiré comme des aimants. Leurs lèvres se rapprochaient inexorablement vers une contrée défendue mais tellement désirée !
Mais alors qu'ils allaient s'embrasser l'Interphone sonna. Ils sursautèrent et se séparèrent gênés. Largo établi la communication.
LARGO : Oui.
SIMON : Bon vous faite quoi on vous attend !
Largo et Joy se croisèrent du regard.
LARGO : On arrive !
Puis il coupa la communication et se dirigea vers la sortie.
JOY : Largo je voulais te dire pour tout à l'heure…
Largo s'était arrêté et la regardait dans les yeux. Joy ne savait plus où se mettre, elle voulait lui dire que cela aurait été une erreur, qu'il ne fallait pas… mais elle n'y arrivait pas. Son cœur lui criait le contraire.
Largo lui avait peur de ce qu'il allait suivre. Il ne voulait pas se faire rejeter par Joy. Ce serait trop dur…
JOY : Non rien…
Largo était complètement déboussolé. Son histoire avec Joy n'était faite que d'occasions manquées et de sous-entendus. Si on pouvait appeler ça une histoire !
Mais alors que Joy allait lui passer devant, il fut pris comme d'un coup de folie. Cette journée était très dure pour lui, trop de souvenir… Comme si sa raison ne contrôlait plus son corps il attrapa Joy par le bras et l'attira à lui. Joy était surprise mais se laissa faire.
Largo avait ses deux mains sur sa taille et il la tenait très près, leurs fronts posés l'un contre l'autre.
Joy savait qu'elle devait se dégager. Simon et Kerensky les attendaient. Mais elle avait tellement rêvé de ce moment. Il lui semblait qu'ils étaient dans cette position depuis des heures, sans parler…
Puis elle plaça sa main sur la joue de Largo. Le jeune homme la regarda. Joy pouvait lire tout l'amour de Largo dans ses superbes yeux. Comment avait-elle pu être aveugle à ce point là ? Puis leurs lèvres se rapprochèrent et là rien ne pouvait les empêcher de se rejoindre. C'était un baisé doux et chaste qui se transforma peu à peu en une passion dévorante et incontrôlable.
Ce n'est qu'à bout de souffle qu'ils se séparèrent. Ils ne pouvaient que se regarder dans le blanc des yeux. Ils venaient de briser une barrière. Joy avait peur des conséquences. Peur de perdre la confiance et le respect de Largo… et s'il n'avait pas de sentiments pour elle, si elle n'était qu'une conquête de plus…
LARGO : Je vous aime Joy Arden…
Joy ne put que le fixer. Elle savait que quand Largo disait quelque chose il le pensait. Un jour il lui avait dis qu'il ne disait que très rarement ces trois petits mots qui venaient de la transporter au paradis. Des larmes de joie coulaient sur ses joues. Largo les essuya délicatement.
LARGO : Je ne savais pas que ça te mettrait dans cet état…
Joy lui sourie.
JOY : Merci…
LARGO : De quoi ?
JOY : Je ne sais pas d'être là, d'exister…
Largo était aux anges. Il était si heureux d'avoir rassemblé tout son courage pour lui dire ses sentiments même si ce n'était pas vraiment le moment idéal.
Ils étaient toujours aussi près mais ne semblaient pas vouloir bouger.
JOY : Les autres nous attendent…
Mais Largo l'embrassa et elle put terminer sa phrase.
LARGO : Tu as raison… Allons voir ce qu'ils ont trouvé.
Puis ils se dégagèrent et partirent pour le bunker main dans la main.

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Bunker secret du groupe W.
Largo et Joy venait d'entrés. Simon les dévisagea il y avait quelque chose d'étrange… mais quoi ?
Nos deux tourtereaux s'étaient mis d'accords pour ne rien dire avant la fin de cette affaire donc ils devaient rester… professionnels.
Ils s'assirent à la table.
LARGO : Alors ?
KERENSKY : Disons que nos nouveaux amis sont un véritable mystère. Prenons le colonel O'Neil par exemple. Force spécial, excellent soldat, la moitié de sa carrière est classée Top Secret et il y a six ans il est sorti de sa retraite pour une mission et depuis plus rien !
LARGO : Comment ça ?
KERENSKY : Il est toujours dans le service actif mais son dossier est vide.
JOY : Et pour le major Carter ?
KERENSKY : Une des plus brillantes astrophysiciennes de sa génération, mais même chose rien depuis cinq ans !
LARGO : Nous avons donc un militaire de carrière, une astrophysicienne et un archéologue et pour le dernier ?
KERENSKY : Ah ! Oui ce monsieur Thomas, lui c'est le flou total. C'est simple il n'existe pas, il n'est fiché nul part ?
SIMON : Services secrets ?
KERENSKY : Même un agent de très haut niveau n'a pas une telle couverture ! On dirait qu'il n'est pas né sur Terre !
LARGO : Et sinon aucune idée sur le projet auquel ils sont affiliés ?
KERENSKY : Je sais que leur base d'opération se trouve à Cheyenne Montain, une ancienne base de missile nucléaire datant de la guerre froide.
JOY : Quoi qu'ils fassent dans cette montagne les événements ont sûrement un rapport avec, pour qu'ils sortent de leur trou.
KERENSKY : Leur niveau de sécurité est très important et il me faudrait pas mal de temps pour pénétrer dans ces fichiers…
LARGO : Mais tu penses que c'est possible ?
KERENSKY : Ce n'est qu'un programme.
LARGO : Bien mais pour l'instant je vous conseil d'aller vous reposer. Il se fait tard, on reprendra ça demain.
La pièce se vida et même Kerensky qui avait quelques réticences se leva pour partir. Lui travaillait depuis près de 36 heures il lui fallait du repos à lui aussi !
Simon salua tout le monde et alla se coucher.
Joy et Largo étaient seuls toujours assis à la table du bunker. Ils se fixaient.
Largo se demandait s'il n'avait pas imaginé la scène avec Joy. Puis il sentit le pied de l’ancienne agent de la CIA contre sa jambe. Non, il n'avait pas rêvé. Il avait trouvé la femme de sa vie…

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Un hôtel à NY.
Parfois le gouvernement n'était pas très généreux pour ce qui était du logement de ses officiers. SG1 avait dut établir ses cartiers dans un hôtel de la banlieue de NY et ce n'était pas vraiment un quatre étoiles. Au moins il était propre et bien entretenu… et puis c'était déjà plus confortable que la base et là il y avait des fenêtres au moins !
O'Neil avait décidé de retarder au lendemain l'arrestation de Winch. Ce serait plus diplomatique ! Cette fois on lui avait bien fais comprendre qu'il fallait être très prudent. Winch était très puissant et cela devait faire le moins de vagues possibles.
Jack n'arrivait pas à se faire une opinion sur cet homme. Il ne ressemblait pas vraiment à un voleur prêt à tout pour quelque chose. Jack n'avait pu s'empêcher de remarquer qu'il était très apprécié par son entourage. Il y avait ce John Sullivan et bien sûr Joy Arden même si dans ce cas il n'était pas sûr qu'amitié serait le bon terme…
Et cela le fit penser à son propre cas. Samantha Carter, le major Samantha Carter, son major… Et là était tout le problème…
Mais parfois il se disait qu'il imaginait tout ça. Sam ne pouvait rien ressentir pour lui. Il était bien plus âgé qu'elle. Elle était douce, intelligente, forte…
Non vraiment elle ne pouvait en aucun cas ressentir la même chose que lui ! Et puis de toutes façons il y avait le règlement de non fraternisation entre officiers…
Pauvre Jack se dit-il, toi qui ne respectes jamais les règles voilà que tu te caches derrière ce fichu règlement. Mais il connaissait pourtant la vérité. Il avait peur.
S'en rendre compte lui donna envi de rire !
Lui qui n'était pas effrayé par l'idée de foncer tête baissée dans une bataille avait peur de parler à une femme. Peut-être parce que ce n'était pas n'importe quelle femme…
Et puis il y avait toutes les conséquences. Ils pouvaient briser leurs carrières et puis elle pourrait le rejeter…
On frappa à la porte.
O'NEIL : Entrez !
Sam entra timidement dans la chambre du colonel. Il était très tard et Teal'c et Daniel dormaient depuis un certain temps. Elle portait toujours son uniforme alors que Jack était en T-shirt et en jogging.
JACK : Carter ?
SAM : ON vient de recevoir la confirmation de notre demande de filature pour Largo Winch, mon colonel.
JACK : Ca aurait pu attendre demain Carter.
Sam était confuse. Elle ne voulait pas déranger Jack. Jack en voyant l'embarra et la rouge des joues de Carter, il comprit qu'elle avait mal interprété ses paroles.
JACK : Ce que je voulais dire c'est que ce n’était pas la peine de vous lever en pleine nuit !
SAM : Oh ! Mais je ne dormais pas mon colonel.
Elle s'approcha pour lui donner la feuille de papier. Mais quand leurs doits se rencontrèrent ils ne purent réprimer un frisson. Ils étaient très proches à se dévisager. Sam ne savait pas quoi faire. C'était son officier supérieur, ils ne pouvaient pas, ça leurs étaient interdis. Pourtant leurs lèvres se rencontrèrent, leurs corps se serrèrent…
Leurs mains cherchaient à trouver le contacte de la peau de l'autre. Là il n'y avait pu de colonel ou de major juste Sam et Jack…
Deux êtres qui ne voulait qu'exprimer leur amour, leur passion…

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Appartement de Largo Winch, building du groupe W.
Largo regardait la ville. Le soleil se levait et commençait à dissiper paresseusement les ombres de la nuit. Il était heureux, il avait trouvé son âme sœur, la femme qu'il avait tant cherché…
Pourtant toutes les préoccupations qui lui travaillaient l'esprit le dérangeaient. La commission, Largo les détestait. Cette organisation l'avait privé de son père. Sans elle Nerio aurait pu l'élever, le serrer dans ses bras. Il aurait pu l'appeler son fils…
Et aujourd'hui plus encore ça lui faisait mal. Aujourd'hui c'était l'anniversaire de Nerio, l'anniversaire de sa mort…
Alors qu'il était pris dans ces considérations morbides il sentit une main chaude dans son dos. Il se retourna et put contempler une des plus belles visions qu'il n'est j'aimais eu. Joy était enveloppée dans un drap, les cheveux un peu en bataille, elle était superbe…
Elle enveloppa aussi Largo avec elle et l'embrassa.
JOY : Bonjours…
LARGO : Bonjours… Bien dormis ?
JOY : Comme un bébé ! Tu pensais à quoi ?
LARGO : A toi, à ma vie depuis deux ans, à Nerio…
Sur ce dernier nom la voix de Largo s'était comme cassée. Joy se rappela que ce jour était particulier et le serra un peu plus fort. Largo était fragile même s'il voulait se donner des airs de grands durs.
JOY : Ca va aller ?
LARGO : Oui, je t'ai près de moi c'est tout ce qui compte.
Il lui caressa le visage.
LARGO : Je t'aime tellement ! J'ai voulu me le cacher, j'ai été aveugle !
JOY : Pas autant que moi !
Et elle l'embrassa avec fougue. Mais à ce moment là Simon débarqua comme une tornade.
SIMON : Largo il faut absolument…
Mais il s'arrêta en voyant le couple.
LARGO : On ne t'a jamais appris à frapper avant d'entrer !
Largo n'était pas vraiment en colère même Joy avait gardé un superbe sourire. C'est vrai qu'ils auraient préféré leur dire après toute cette histoire mais ainsi est la vie !
SIMON : En faite je devais te dire que Kerensky avait trouvé de nouvelles infos et je devais aussi te prévenir Joy mais comme ça on économise un coup de téléphone…
Simon venait de dire tout ça en bafouillant et très vite puis il partit comme une flèche mais il put quant même entendre Joy et Largo éclater de rire.

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Hôtel de SG1, banlieue de NY, quelques heures plus tôt.
Dans la chambre de Jack, des vêtements étaient étalés un peu partout. Ce qui serait tout à fait normal si ce n'était pas un uniforme de femme. Le major Carter regardait son colonel dormir. Dieu qu'elle l'aimait !
Elle ramassait ses affaires et avait presque fini quand Jack se réveilla. Elle n'ait sur le dos qu'une chemise de Jack et dans la pénombre leurs regards se croisèrent.
JACK : Sam…
SAM : Mon colonel…
Dans la demi obscurité elle le vit froncer des sourcilles. Ils devaient parler, elle s'approcha de lui et s'assoies sur le bord du lit.
JACK : C'est peut-être pas très utile le colonel non ?
SAM : Je ne sais pas c'est un automatisme…
JACK : Pourquoi tu partais ?
SAM : (les yeux baissés) Je ne voulais pas me réveiller pour que tu me dises que c'était une erreur…
JACK : Oh ! Sam…
Jack se rapprocha d'elle et la prit dans ses bras.
JACK : Je ne regrette rien Sam ! Je t'aime !
Sam le regarda intensément.
SAM : Pardon !
JACK : Mais il n'y a rien a pardonner Sam. Viens là.
Jack l'attira vers lui et ils se recouchèrent sous les couvertures.
SAM : Mais pour le général ?
JACK : Je ne sais pas, on fera comme d'habitude, on improvisera…

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Bunker du groupe W.
Joy et Largo rentrèrent dans la pièce de haute sécurité. Ils avaient pris le temps de se préparer surtout grâce à un bon bain chaud dans l'immense baignoire de Largo…
Simon les regardait étrangement. Par contre Kerensky n'avait même pas levé la tête de son ordinateur. Pourtant il devait être au courant jamais Simon n'aurait pu tenir sa langue !
LARGO : Arrêtes de faire cette tête Simon !
KERENSKY : (toujours devant son écran) Oh ! Simon est très heureux pour vous Largo. Par contre il est moins heureux d'avoir dû me donner deux cent dollars !
JOY : (surprise) Vous aviez parié ?
SIMON : Oui, que vous seriez ensemble avant Noël, j'ai perdu !
Devant le silence de Largo et Joy Kerensky commença :
KERENSKY : En cherchant un peu j'ai pu trouver quelques infos sur ce projet. Là encore on retrouve le code "porte des étoiles" et ça semble désigner une chose plus qu'une opération…
JOY : Etrange…
KERENSKY : Oui mais on voit aussi qu'ils ont des subventions colossales. Notamment en électricité…
JOY : Qui commende le complexe ?
KERENSKY : Le général Hammond. Tu le connais ?
JOY : Oui c'est un des amis à mon père. Il ne devrait pas être loin de la retraite…
KERENSKY : Il a même dépassé la date !
LARGO : Bien, continuez comme ça.
SIMON : Tu vas quelque part ?
LARGO : Je serais bientôt de retour.
Et il sortit. Simon aurait voulu protester mais Joy l'en empêcha.
SIMON : (qui ne comprenait pas) Mais pourquoi ?
JOY : Aujourd'hui ça va faire deux ans que Nerio est mort.
SIMON : Ah !
KERENSKY : Peut-être que tu devrais aller avec lui Joy.
JOY : Oui, j'y vais.

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Cimetière de NY, 10H30.
Largo était penché sur la tombe de son père. Joy avait insisté pour l'accompagner et il n'avait pas pu refuser. Elle se tenait en retrait dans l'allée à une vingtaine de mètres de Largo.
Le jeune homme ne pouvait quitter des yeux cette pierre où était gravé le nom de son père.
LARGO : Ca fait bizarre. Tu me manques mais on ne s'est jamais vraiment connu. Aujourd'hui j'ai repris ton combat mais je ne sais pas si je pourrais le mener jusqu'au bout…
Largo leva les yeux et regarda les arbres le regard perdu.
LARGO : Aujourd'hui je suis avec Joy, tu la connaissais. Elle représente tellement de choses pour moi. C'est la seule femme que j'ai rencontré avec laquelle j'envisage vraiment de faire ma vie. Elle est exceptionnelle !…

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Joy regardait Largo. Elle n'aurait jamais cru le voir un jour comme ça sur la tombe de Nerio. Elle savait que la présence de son père avait beaucoup manqué à Largo pendant son enfance. Bien sûr elle avait déjà rencontré Nerio et elle trouvait que Largo lui ressemblait de plus en plus. Ils avaient le même caractère…
Mais alors qu'elle observait les alentours elle aperçut un groupe de personnes qui approchait. Avec surprise elle reconnut le colonel O'Neil et son équipe.
Qu'est-ce qu'ils fichaient là ?

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Un cimetière. Pourquoi pas ! Il aurait fallu bien plus pour entamer le moral de Jack aujourd'hui. Il était joyeux et Daniel cherchait à savoir pourquoi depuis le petit déjeuné. Mais il était loin de pouvoir se douter…
Il est vrai que quand les renseignements leur avaient dis que Winch était au cimetière cela leur avait paru très étrange mais bon ! On est dans un pays libre !
Puis ils purent voir Joy Arden adossée à la voiture de sport de son patron. Elle venait de les repérer. Elle vient à leur rencontre. Jack put néanmoins apercevoir Largo Winch accroupis dans l'herbe quelques mètres plus loin.
JOY : Que fait vous là ?
On sentait qu'elle était en colère.
JACK : Nous devons parler à votre patron.
JOY : Il est occupé.
JACK : Et bien on va le déranger !
Et il dépassa Joy. Le reste de l'équipe n'était pas vraiment en accord avec la méthode de Jack mais elle avait le mérite d'être directe.
Jack n'était qu'à quelques mètres de Largo quant il vit la plaque. L'image le frappa : un fils allant sur la tombe de son père peut-être car dans son cas cela avait toujours été le contraire…
JACK : (moins agressif) Monsieur Winch…
Largo leva la tête. Il semblait très surpris de la présence du colonel ici.
LARGO : (en se relevant) Colonel je ne m'attendais pas à vous revoir…
JACK : Je suis désolé du lieu mais nous devons absolument vous parler. Si vous voulez bien nous suivre…
JOY : (qui suivait la conversation) C'est hors de question !
JACK : Nous pouvons vous obliger à nous suivre…
LARGO : Ce n'est rien Joy.
Jack était intrigué. Il y avait quelque chose de différent entre ces deux là depuis hier. Il était sûr que Winch avait dis ça pour la protéger…
LARGO : Je vous suis.
Et il fit un pas vers Jack, ce qui lui sauva la vie. En effet une balle alla se loger dans la pierre tombale voisine passant par l'endroit exact où était la tête de Largo quelques instants plus tôt.
Tous se mirent à terre. Joy sortit son arme et en donna une à Largo.
LARGO : Il est où ?
JOY : Là bar derrière les arbres.
JACK : (qui avait aussi sorti son arme) C'est vous qui êtes visé.
LARGO : Oui de toutes façons à chaque fois que je viens dans ce cimetière on essaye de me descendre !
Après avoir estimé la situation et que quelques balles ne l'est manquée de peu…
LARGO : Joy couvre-moi !
Et il s'élança.
JACK : Il n'a pas froid aux yeux, bon je le suis !
SAM : Mon colonel ! ! !
Mais il était trop tard. Les deux hommes essayaient de se reprocher du tireur pour l'abattre mais il devait zigzaguer entre les balles. Puis ils finirent par se jeter derrière une massive pierre tombale à couvert. Et de là ils purent abattre le tireur après quelques échanges de tirs.
Puis ils se levèrent et allèrent voir qui il venait de tuer. Il furent rejoignent par les autres.
La forme était sur le sol entièrement habillé de noir. Jack se baissa et retira la cagoule. C'était une jeune femme et malgré le sang qui lui coulait de la bouche et ses yeux vitreux Largo la reconnu ainsi que Joy.
LARGO : (sans réfléchir à la présence de SG1) Notre mercenaire de la confrérie…
DANIEL : La confrérie ? La confrérie adriatique ?
Largo sembla se souvenir de la présence de SG1. Il regardait Daniel comme s'il venait de mars.
LARGO : Que savez-vous de la confrérie adriatique ?
JACK : Rien mais vous vous semblez la connaître !
LARGO : C'est une longue histoire.
JACK : Mais on a tout notre temps !

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Ascenseur du groupe W.
Joy était contre ! Elle l'avait répété à Largo pendant tout le trajet. Ils étaient de l'armé, on ne pouvait pas leur faire confiance ! Mais non, monsieur au grand cœur voulait une belle association…
Partager nos informations et puis quoi encore !
Joy appuya sur le dernier sous-sol. Une fois arrivé, elle introduit une carte et tapa un code et ils descendirent encore d'un étage.
SAM : Un sous-sol secret ?
LARGO : oui.
Puis les portes s'ouvrirent et SG1 suivirent Largo et Joy Jusqu'à la porte du bunker. Jack savait très bien que cet endroit était bien plus qu'une cave. Cet endroit était presque aussi sûr que leur base.
Une fois la porte passée Sam était aux anges il y avait ici du matériel parfois plus perfectionné que ce qu'elle avait à la base ! Encontre bas se trouvait deux hommes. Ils reconnurent : Simon Ovronnaz et Georgi Kerensky. Ils semblaient très surpris de la présence de SG1. Le petit groupe descendit les quelques marches pour arriver au centre de la salle.
SAM : Vous êtes très bien équipé…
LARGO : C'est indispensable.
JACK : Pourquoi ? A cause de La confrérie adriatique ?
LARGO : Entre autre…
DANIEL : Mais c'est quoi ? J'ai fais quelques recherches et je n'ai rien trouvé !
SIMON : Ce n’est pas dans les livres d’histoire que vous allez trouver !
SAM : Alors expliquez-nous !
LARGO : La confrérie ou commission adriatique est une organisation…
Il leur expliqua. Mais il passa sous silence quelques détails comme quoi Nerio en avait fait parti. Les secrets de famille, c’était sacré !
Après quelques instants.
JACK : Wouaaaa ! Ca c'est fort !
SAM : Mais pourquoi étiez-vous en Russie ?
LARGO : C'est la commission qui a volé votre porte des étoiles.
Largo avait dis ça pour voir comment ils réagiraient et bien c'était réussi. Ils avaient du mal à s'en remettre !
JACK : Que savez-vous sur la porte des étoiles ?
LARGO : Nous savons que…
KERENSKY : (qui coupe Largo) Nous savons que c'est un moyen de transport vers d'autres mondes…
Là, en plus des membres d'SG1 qui étaient choqués, Joy et Largo se demandaient s'il n'avait pas perdu la tête !
Mais Kerensky appuya sur une des touches de son clavier et une vidéo fut lancée sur tous les écrans de la salle. Une vingtaine de portes des étoiles…
VOIX VIDEO : Arrivé imminente non autorisé.
Puis le vortex se forma ce qui fit sursauter Joy et Largo qui n'avaient jamais vu ce spectacle. Puis ils virent l'iris se fermer pour finalement se rouvrir pour laisser passer quatre hommes. SG1 reconnu SG 12, puis le vortex se referma et on put de nouveau voir le mur de béton. C'était la fin de la vidéo.
DANIEL : Ou avez-vous eu ça ?
KERENSKY : Dans les archives du pentagone.
Et il semblait sérieux en plus !
LARGO : C'est ça qu'a volé la commission ?
DANIEL : Oui, enfin pas celle-là une autre.
JACK : Daniel ! ! !
DANIEL : Je pense que l'on peut lasser tomber le secret défense. Ils sont déjà au courant !
TEAL'C : Je suis de l'avis de Daniel Jackson, O'Neil.
JACK : Carter ?
SAM : C'est le seul moyen de retrouver la porte, mon colonel.
Même la femme de son cœur était contre lui ! Mais c'est vrai qu'il n'avait pas vraiment le choix !

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