Insomnie inspirée [PV Jake]

Let's go back...
Back to the beginning
Back to when the earth, the sun, the stars
All aligned

Cause perfect....
Didn't feel so...perfect...
Trying to fit a square into a circle
Was no life...
I defy.

Ces paroles étaient d’Hilary Duff… Des paroles assez futiles, quand on pense au sens qu’elles ont. Retournons à quand la terre, le soleil, les étoiles étaient toutes alignées. Gné ? Gros gné, même ! A vrai dire, ce n’était pas tant les paroles qui trottaient dans la tête de Jennifer, mais plutôt le son de la batterie, qui est omniprésente, surtout au début de la chanson. C’est souvent, même, que la jolie blonde avait des rythmes, soudain, qui venaient se glisser dans son esprit. Depuis le soir, vers vingt-trois heures, ou dans ces environs-cis ! Jenn’ était donc parvenue à trouver le sommeil, jusqu’à deux heures du matin. Mais Lucy, à deux heures treize, avait toussé. C’est fou, les choses les plus simples vous réveillent, le nez sur le réveil, et l’heure reste gravée entre votre mémoire !
Et du coup, Jenny n’arrivait plus à retrouver le sommeil… Ironie du sort, son inspiration lui vînt quelques dizaines de minutes après s’être assise sur son lit. La compositrice prit sa plume, son parchemin, et son encre des temps modernes pour commencer à écrire un refrain. Oui, c’est comme cela que ça marchait avec elle. On commence par le refrain, et on brode, au fur et à la mesure des couplets au dessus et en dessous, un air enregistré sur l’ordinateur…

Et après ? Hein, après ? Et bien, on porte tout cela à son manager ! Mais bon, bien qu’il lui ait promis de toujours répondre à ses appels, à trois heures du matin, il n’était pas surprenant de tomber sur sa messagerie vocale. Jennifer, qui ne parvenait toujours pas à retrouver les bras de Morphée pour s’y glisser à nouveau, doucement, se mit sur son ordinateur, telle une adolescente de treize ans. Mais ce n’était pas pour chatter avec des amis d’un pays au nom imprononçable, ou écouter une musique entrainante sur Youtube ! Non, Jennifer avait téléchargé, il y a un an maintenant, un logiciel pour ajouter des sons, rythmes, etc. à un son déjà existant. Elle s’en servit pour mixer un peu son titre ; même si elle ne se connaissait aucun talent en DJ. Mais c’était juste pour voir, grossièrement, ce que ça donnerait dans l’éventualité où sa maison de disque, et son manager accepteraient sa proposition.
Donc, un coup de batterie, un cœur qu’elle aurait enregistrée elle-même, et baissé en nuance, et hop ! Bon, ce n’était pas du grand art, mais tout de même, il ne fallait pas cracher dans la soupe !
Il était à présent sept heures. Jennifer grava son œuvre sur un CD vierge, et le mit ainsi que ses paroles, dans une grande enveloppe.
Elle fila à la douche ; un esprit saint dans un corps saint, comme disait toujours sa mère ! Le temps de se pomponner, de s’habiller ; Lucy était réveillée. Les deux Matthews déjeunèrent donc ensembles, Lucy fila se préparer dans la salle de bain, et Jennifer la mena à l’école.
L’enveloppe dans la boîte à gant, et le téléphone à l’oreille ; le kit main libre étant évidement indispensable pour ne pas créer un scandale à la mère indigne. Jennifer, en amenant sa fille à l’école, pria à son interlocuteur de patienter, pour qu’elle l’accompagne dans l’enceinte du collège. Les paparazzis, ah ! Toujours là, eux ! Des flashes, des flashes, encore des flashes ! Marrant cinq minutes, mais agaçant à force !
Jennifer remonta dans sa voiture après avoir embrassé et souhaité une bonne journée (plein de bonnes notes aussi ^^’) à sa fille.
Maintenant, direction le scorp’, pour montrer sa composition à sa maison de disque, où elle devrait retrouver son manager. Mais oui, c’était lui au bout du fil tout à l’heure !
Jennifer reprit cours, et s’excusa de la coupure, les photographes l’ayant légèrement bloquée… Aucun malaise ne naquît. Il arriverait donc d’ici une petite heure à la maison de disque, comme voulu. Et vu les bouchons, être là bas à la même heure que lui, bien que se trouvant à dix kilomètres seulement du bâtiment, ça devrait être jouable !
Au bout d’une cinquantaine de minutes, Jenn’ voyait enfin le bout de son interminable périple…
Une fois devant la maison, Jennifer sortit. Personne n’était apparemment caché derrière un buisson, ni déguisé en vendeur de pizza, histoire de dérober des clichés de la superstar.
Jennifer entra, l’enveloppe à la main. La voiture de son manager n’était toujours pas là, vu les poubelles –hors mis la sienne- qui étaient entassées dans la rue. Jay’ salua le réceptionniste qu’elle connaissait depuis ses débuts, en lui demandant des nouvelles, et le petit train-train de sa vie quotidienne.
Après quelques minutes à bavarder, le jeune homme proposa à Jennifer de s’asseoir, boire un café. Pourquoi pas ?
Jennifer s’assit donc dans le sofa en cuir blanc qui était en face d’une table basse. Evidement, tout cela ne se déroulait pas sous les regards indiscrets de tout le monde, mais dans un petit salon V.I.P ! Hey, qui dit blonde, ne dit pas naïve x’D.

Ils y a certaines stars, qui parce qu’elles ont un don, ou tout simplement parce que c’est leur passion, compose, toute une journée, pour faire quelque chose de bien, et qui surtout leur plait. Mais il y a aussi les stars, qui ne font rien, et qui se servent de personnes, qui leur mâchent tout le boulot, pour qu’elles puissent ensuite, juste poser leur voix sur des paroles et de la musique, ces personnes là, ne font de la musique, que pour l’argent et c’est bien regrettable. Une chose est certaine, Jay Downer est certainement un garçon qui fait ça par passion, pas besoin de l’expliquer, cela se sent, et cela se voit également. Par exemple, vous pouvez voir, que chaque chanson est écrite et mise en musique de sa main, il n’a pas vraiment besoin d’aide, il est déjà très talentueux, mais humble en plus, il garde la tête fraîche, et reconnait toujours un bon boulot, d’un moins bon. Assis sur un tabouret, simple mais moderne, au milieu de cette salle qui était un studio d’enregistrement des meilleurs qu’il soit, ce garçon, ou plutôt cet homme, car il était déjà bien avancé dans l’âge adulte, tentait de mettre en musique, sa fraiche composition, qui datait d’hier tout juste… Pour une fois, sa composition, avait été écrite en plein jour, lui qui avait l’habitude d’écrire en pleine nuit, ayant de l’inspiration à revendre, qui l’empêchait de dormir correctement. Elle avait même été imaginée, par le biais de chansons d’autres artistes, comme quoi, ils pouvaient eux aussi, être source d’inspiration, quand il fredonnait leurs musiques. La particularité de Jake Downer, plus connu sous le nom de Jay’ Downer, c’était qu’il avait un univers majestueux dans la musique. Le jeune homme de 29 ans, travaillait toujours sans relâche pour atteindre la perfection recherchée dans ses chansons, mais à chaque fois, il se disait après être allé au bout de lui-même, qu’il n’y parviendrait qu’à sa mort.

Assis depuis un bon bout de temps sur ce tabouret, il était arrivé ici, à huit heures pour composer un morceau, car ses paroles sans musique, le rendait fou, dans son lit, et il ne tenait jamais en place, avant de tester la chanson sur un morceau. Oh bien sur, cela prenait parfois des mois entiers, à tester une de ses nouvelles compositions, mais il aimait ce boulot, il avait rêvé gamin de le faire, et il y était parvenu. Ce jeune homme avait fait de son rêve une réalité, et chaque jour, il mesurait sa chance. Penché sur sa guitare, électrique blanche, made in Gibson, qui contrastait terriblement avec son look, gothique des années 80, car vêtu d’un pull noir, qui tombait sur des mitaines de la même couleur, et d’un slim pour harmoniser le tout, de couleur identique, il avait réussi à se créer un style grâce à ses chaussures, certes spéciales, et loufoques, mais grandement confortables : des Asics blanches, aux courbes sur le côté de couleur rouge et bleue, avec des lacets noirs. Jake avait toujours souhaité être unique, et il l’était, tout le monde le connaissait, et tout le monde tentait de l’égaler, mais bien sur, en vain.

Commençant à fatiguer, car les mots pesaient dur en lui, à cause de leur vérité, ses doigts restaient pourtant bien sur les cases qu’il fallait, et sa voix ne tremblait pas, elle était juste, et tellement agréable à entendre, même lui le reconnaissait, il préférait nettement s’entendre, qu’entendre une chanteuse à la voix trafiquée, et il avait totalement raison, car chez lui, c’était tout naturel. Ca faisait bien maintenant une heure et quart, qu’il travaillait, et il était arrivé à une petite satisfaction : il avait trouvé les notes du début de sa chanson. Elles étaient assez graves, et sa voix suivait donc la sonorité des notes. Au bout d’un petit moment, il stoppa sa chanson, ou du moins le premier couplé qu’il venait de tenter de chanter. C’était correct, mais pas encore au point. Alors, il se leva de son tabouret, leva la sangle de sa guitare, en la faisant passer par-dessus la tête, et la posa sur son socle, il la rangerait plus tard. Il s’occupa de mettre en revanche à l’abri du plagiat, ses textes, et il entreprit de sortir de son petit studio, histoire de se refaire une santé, en allant boire quelque chose, comme un café, ou autres. Le Starbucks n’était pas loin à pied, il sortit donc discrètement du studio en passant devant le petit salon, où le réceptionniste, et une femme discutaient. Il n’y prêta pas trop attention et il alla vite s’acheter son café préféré, avant de revenir, avec son gobelet mythique, à la main. A la différence d’un quart d’heure avant, il s’interessa de plus près à la discussion des personnes dans le salon. Il s’avança alors, avec son allure gracieuse naturelle, et il dit d’une voix intelligible, un brin de malice dans ses yeux :

« Bien le bonjour, à vous deux, chers compatriotes ! »

Jake avait toujours ce besoin de plaisanter sur tout, il se prenait souvent une bonne blague, pour commencer la journée, mais ses jeux de mots, et phrases ironiques, étaient légendaires, et les journalistes en avaient souvent fait les frais. Il s’installa alors dans un petit fauteuil, et il croisa alors les jambes, son café à la main. Le réceptionniste, qui connaissait bien Jake depuis quelques années, eut un petit sourire, et demanda alors :

« Bonjour, monsieur Downer, alors, la mise en musique avance bien ? »

Après avoir bu une légère gorgée du café à la noisette, Jay lui répondit chaleureusement, en se relevant du fauteuil, décroisant par la même occasion les jambes.

« Ca avance, c’est pas encore tout à fait ça, mais j’aime bien l’intro pour le moment ! »

Puis fixant bien étrangement la demoiselle qui se trouvait avec le réceptionniste, il fit de nouveau de belles paroles :

« Pardonnez mon impolitesse mademoiselle, j’ai omis de vous demander votre nom, bien que je crois en fait déjà le savoir… »

Jake avait peut être l’intention de jouer sur les bonnes manières aujourd’hui , ça risquait d’être bien amusant.

Jennifer attendait, patiemment son café, ne sachant pas lequel son ami lui apporterait. Il lui aurait fallu un capuccino, pour se réveiller doucement, mais vu leurs discutions variées, certainement que cela était déjà intervenu dans une d’entre elles ! Enfin, passons, Jennifer n’était pas du style à faire des caprices à la Beyonce pour un pet de travers !
Alors que le bruit de la machine se faisait entendre, un bruit de clochette retentit. Cela ressemblait à la porte principale, qui venait d’être poussée.
Mais d’un naturel terriblement paresseux, Jenny de bougea pas d’un poil. Etait-ce son manager, un compositeur sortit du lycée, qui cherchait naïvement à entrer dans une maison de disque, BEYONCE ? X’D Bon, ok ; si c’était Beyonce, la cocotte bougerait même son popotin pour lui laisser sa place… (Et dire que il y a cinq lignes, je l’ai traitée de Bimbo excentrique… --‘)
Enfin bref, ce n’était évidement pas Beyonce… à moins qu’elle ne soit passée chez le chirurgien et le coiffeur récemment.
C’était un homme, de taille moyenne, brun, et pas mal. Mais ça, il en existe beaucoup. Et pourtant, Jay’ était certaine de l’avoir déjà aperçu quelque part. S’il s’appelait Pierre, Paul ou Jacques… Cela était un mystère. Mais après tout, dans le show bizness, tout le monde s’adore, mais personne ne se connaît. Enfin c’est les premiers conseils que lui avait donné son manager. Sa réaction, naïve peut-être, fût de vouloir ne se lier qu’avec ceux dont elle en saurait autant que si elle n’était pas célèbre. Apparemment, cela a réussit à la grande, étant donné sa réussite dans le milieu !
Enfin, revenons-en à nos moutons, je vous prie !
Jennifer observa donc ce nouvel apparent dans la star block, étant donné que de l’interrompre en pleine discussion paraîtrait malpolis. La jolie blonde patienta alors quelques secondes, jusqu’à ce qu’il entame les présentations de lui-même, et d’une manière si diplomate, qu’un sourire ne pût s’empêcher d’échapper aux lèvres de Jenny.
Ah, c’était rare, mais très agréable venant de quelqu’un qui ne cherchait ni à soudoyer, ni à avoir un autographe de la star, enfin selon les apparences.
Allez hop, on se lève Jennifer ! Pas de ça avec les hommes polis ! Une petite bise, suivie de près par des paroles d’une nuance douce aux oreilles :

« Peut-être bien, Jennifer Matthews, mais Jay’ c’est plus court… »

Ah bah oui, je vous avais prévenu, elle veut connaître tout le monde ! Elle donnait de temps en temps son surnom aux personnes, quand elle était de bonne humeur. Il fallait seulement tomber le bon jour de pluie mes cocos !
Jennifer avait laissé ses compositions sur la table, mais rien de risqué. Elle laissait tout de même, ses yeux glisser sur ses petits bébés de temps à autres.
Oups ! Avec tout ça, Jennifer avait omis de demander les noms de son gentleman du moment… ^^

« Et vous… Hum, Rock Star, n’est-ce pas ? »

Bah, je ne sais pas moi ! Il avait un style… x’D Mais en tous cas, il avait un truc, ce truc dont toutes les stars cauchemardent toutes les nuits de perdre. (Je sais pas si c’est compréhensible, mais je me comprends x’D).

[Désolée, c'est petit, mais l'inspi était partie... Insomnie inspirée [PV Jake] 95231

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Ah quelle étrange mais agréable sensation, que de boire son café matinal préféré! Jake en était tout retourné comme chaque matin d'ailleurs, ce café avait un grand pouvoir sur lui, il le rendait sociable, agréable et de bonne humeur, autant vous dire que tout le monde préférait lorsqu'il buvait son café. Jake était un drogué de nature, déjà rien qu'au café, il était totalement addict, alors au reste...Je ne vous dirais rien, tout simplement parce que tout le monde doit déjà s'en douter.

Enfin bref, Jake ne s’ennuyait pas aujourd’hui, il avait du boulot, et c’était tant mieux, il pouvait s’occuper au lieu d’appeler son cher frère Tom, ou appeler les anciens membres de son groupe, même s’ils étaient quelques peu réticents, car ils lui en voulaient d’avoir réussi sans eux, et d’être parti comme cela. Bon ok, il avait décidé de faire sa propre carrière à leurs dépens, mais il n’avait pas eu tort, vu que le groupe avait fini par plonger comme à ce qu’il s’attendait. Jay’ ne supportait pas l’échec, et il était encore plus célèbre à présent, car aucun membre du groupe ne lui faisait de l’ombre. C’est assez malheureux à dire, mais Jake ne s’en voulait pas, et s’ils ne voulaient plus lui adresser la parole, c’était leur problème. En tout cas, il était fier de ses albums, et tout cela comptait. Ce qu’il regrettait, c’était qu’il n’avait personne avec qui partager ce travail bien fait, et accompli. Il y avait bien sur Valhalla Modesty, mais elle était comédienne, chose qu’ils avaient en commun vu qu’il avait déjà tourné dans un film, mais pour le moment, il refusait toutes propositions de castings, et de films, car il voulait se consacrer à son nouvel album, et peut-être plus tard à une carrière de comédien, mais seulement en second lieu, sa vie était faite de musique.

D’ailleurs à parler de musique, il se retrouvait en compagnie de personnes qui étaient vraiment intéressées par le métier, et ce n’était pas trop mal, de rencontrer des gens dans le studio. Le souci, c’est qu’il avait toujours peur qu’un artiste lui pique ses idées, ou ses compositions, car ça lui était déjà arrivé et il ne cautionnait pas du tout ce genre de choses, alors, de temps à autres, il pouvait paraitre distant, mais ce n’était que parce qu’il se méfiait des gens. Ce réceptionniste, il le connaissait depuis pas mal de temps maintenant, il semblait toujours intéressé par ce qu’il pouvait faire, ou créer, et il discutait pas mal avec lui, même si bon, il ne le comptait pas parmi ses amis, je vous l’avais dit, Jay’ Downer ne fait pas confiance très facilement. Mais maintenant il y avait cette fille, ou plutôt cette femme, car elle semblait déjà bien adulte, et il le voyait dans sa manière de se tenir, une femme avait toujours plus la classe qu’une gamine, qui se tient comme elle le peut, ou en utilisant de la provocation. Alors qu’une femme, ce n’est pas du tout ça…

Passons, la jeune femme semblait amusée des bonnes manières du petit rocker, qui fit même un clin d’œil au réceptionniste en le montrant du doigt, histoire de l’amuser, et ça n’avait pas raté, il ajouta alors, à son attention :

« Quand-est ce que tu tenteras enfin d’être un artiste ? Tu en as bien un peu du talent, avec tout ce qu’on t’apprend tous les jours ! »

Le réceptionniste le prit heureusement à la rigolade, avant même que la jeune femme ne s’avance, et ne se présente, en faisant la bise au rocker Downer, qui fit alors un petit sourire, lorsqu’elle se présenta. Ainsi son surnom était le même que le sien. Soit, il allait lui faire remarquer :

« Okay’ Jay’, j’ai l’impression de m’appeler moi-même, vu qu’il s’agit de mon surnom ! Maintenant je me souviens, vous faites partie des bons artistes ! Et je ne veux pas vous caresser dans le sens du poil, loin de là !»

Ils pouvaient être différents, et produire de la musique différente, ça n’empêchait pas le garçon d’apprécier des musiques différentes de la sienne. Aussi, elle tenta une petite blague, qui le fit grandement sourire, et acquiescer avec un grand air prétentieux.

« Oui c’est ça Rock Star ! Mais tu peux m’appeler Légende aussi ! Non sérieusement, Jake Downer le seul et l’unique, plus connu sous le nom de Jay’ Downer ! »

Il fit un petit regard furtif vers la composition de la belle femme, et il la questionna ainsi :

« C’est une de vos compositions sur la table ? »

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